LPDAA – Chapitre 2.2

Ensuite, en raison de l'implication de Louis la Liche, le Temple de la Lumière avait envoyé quelqu'un de très important, Sainte Viviane. L'auteur avait consacré un demi-paragraphe à la description de sa beauté. Sa rencontre avec le protagoniste était assez romantique. La sainte avait perdu un objet et était en train de le chercher au bord d'un lac. Le protagoniste, attiré par son énergie lumineuse si pure, avait vu Viviane dans l'eau et avait pensé pendant un instant qu'une fée était descendue sur terre. Il l'aida à retrouver son objet perdu et, pour diverses raisons, ils n'échangèrent pas leurs noms et se séparèrent à la hâte. Bien qu’ils ne se connaissent pas, chacun laissa une bonne impression à l'autre.

LGP – Chapitre 13

''Zi Ran, moi, votre quatrième tante, ai entendu dire que vous aviez l'intention de rendre tous les reçus de prêts aux agriculteurs. Est-ce vrai ?'' Dans les trois jours qui suivirent, les trois femmes d'An Chang Fu se précipitèrent sur place dès qu'elles apprirent la nouvelle. La première à parler fut Wang Qinglan, qui n'avait pas d'enfants et ne pouvait compter que sur le soutien d'An Ziran pour maintenir sa position au sein de la famille An.

LGP – Chapitre 12

An Zi Ran rentra chez lui et alla se reposer dans la salle d'étude. Un peu plus tard, le majordome Su entra. En entrant dans la salle, il se rendit compte que le visage de Zi Ran était tendu. Il lui demanda : ''Jeune maître, vous êtes sûr de vouloir faire ça ?" Monsieur Su avait été informé de ce qui s'était passé dans la matinée. IL travaillait pour An Chang Fu depuis plus de vingt ans, il savait bien combien d'argent tous ces villageois devaient à la famille An. Si toutes les dettes n'étaient pas remboursées, ce serait une énorme perte financière pour la Famille An.

LGP – Chapitre 11

Les villageois qui avaient cambriolé les magasins réapparurent deux semaines plus tard. Un groupe d’entre eux s’était précipité dans le magasin du gérant Feng. Cette fois-ci, ils ne s'étaient pas plaints et n'avaient pas provoqué d'émeute. Ils pénétrèrent à l'intérieur et prirent toute la nourriture qu'ils pouvaient trouver avant de repartir. Un groupe d'hommes grands et forts les attendaient à la sortie, les fixant avec un regard menaçant. C'était un piège.

LGP – Chapitre 10

Au début, il n'y avait que deux ou trois personnes qui essayaient de semer le trouble devant le magasin. Comme ils n'étaient pas nombreux, le gérant Feng ne faisait que les chasser. Quelques jours plus tard, les quelques personnes qui avaient été chassées étaient revenues pour semer le trouble. Cette fois-ci,  ils ont même essayé de s'introduire dans le magasin pour se procurer de la nourriture, mais bien sûr, ils n'avaient pas réussi.

LGP – Chapitre 9

Trois jours plus tard. Su Zi se précipita dans la salle d'étude juste au moment où Zi Ran avait fini de fouiller les livres de comptes. Su Zi était le fils de M. Su. Il avait vingt-deux ans, soit six ans de plus que Zi Ran. D'habitude, les hommes à cet âge étaient tous mariés, mais Su Zi était toujours célibataire. An Zi Ran ne lui avait jamais demandé pourquoi il était célibataire, car ce n'était pas son problème. De plus, ça ne l'intéressait pas. ''Que s'est-il passé ? Pourquoi es-tu si nerveux ?'', demanda Zi Ran.

SDMH – Chapitre 2.1

Dans une pièce spacieuse et lumineuse, un homme âgé d'une trentaine d'années environ se tenait debout silencieusement, dos à la fenêtre. Il mesurait 192 cm et avait une posture bien droite, il avait une paire d’yeux bleus et froids qui dissimulait le tranchant d’une lance. Ses longs cheveux bruns lui pendaient jusqu'à la taille et il portait un costume avec une coupe parfaite qui lui ciselait le physique avec beaucoup de détail. La lumière du soleil traversait les carreaux d'une fenêtre française pour illuminer l'entièreté de sa figure, comme si elle essayait de le couvrir d'une couche dorée.

LGP – Chapitre 8

Après son retour à la salle d'étude, An Zi Ran prit son stylo et commença à s'exercer à l'écriture des caractères. Monsieur Su lui avait dit que ceux-là étaient difficiles, si Zi Ran saurait bien les écrire, il n'aurait aucun problème avec d'autre caractères. Lorsque Monsieur Su entra dans la pièce, il vit Zi Ran totalement concentré sur sa calligraphie. Il n’y avait aucune trace de malaise ou de tristesse sur son visage, on ne pourrait jamais deviner qu’il venait juste d'avoir une dispute avec son oncle et sa tante.

LPDAA – Chapitre 2.1

Une fois que Du Ze avait terminé sa mission quotidienne dans Dungeon Fighter Online, il ouvrit de nouveau la page Web. L’auteur n’était pas disponible et, même si Du Ze le souhaitait, il ne pouvait pas l'atteindre à travers son écran d’ordinateur pour le fouetter, alors même que son mécontentement était sur le point d’atteindre le ciel.

SDMH – Chapitre 1.3

Shang Ke pouvait déjà prévoir l'expérience tragique qu'il était sur le point de subir. Heureusement, le système lui avait procuré une réduction de la douleur de 50%. Sinon, il ne pourrait vraiment pas continuer à jouer la comédie. En ce moment même, une voix d'homme d'âge moyen parvint à ses oreilles: "Alors, jeune maître Cage, avez-vous bien réfléchi? Est-ce que vous allez parler ou pas?" Bien sûr, il ne pouvait rien avouer! Shang Ke demeura inexpressif.